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Les populations les plus touchées

Les déterminants sociaux de la santé affectent grandement la vie des individus et les communautés, car ils créent des risques de VIH plus grands pour certaines personnes. L’IFVS travaille à répondre à ces inégalités, dans son travail.

FEMMES AFRICAINES, CARAÏBÉENNES ET NOIRES (ACN)

44,4%

Parmi les nouveaux diagnostics de VIH chez des femmes en 2020, 44,4 % étaient des femmes noires.

OHESI : Un instantané des diagnostics de VIH et de la cascade des soins VIH parmi les femmes en Ontario

ZOOM SUR DES EXPÉRIENCES DE FEMMES

« Il y a de nombreuses hypothèses sur ce qu’est le racisme … et il y a un besoin d’éducation et de discussion sur le racisme institutionnel et structurel et son impact sur notre travail. »


— Un-e partenaire communautaire de Kingston

FEMMES AUTOCHTONES

13%

Parmi les nouveaux diagnostics de VIH chez des femmes en 2020, 13 % étaient des femmes autochtones.

OHESI : Un instantané des diagnostics de VIH et de la cascade des soins VIH parmi les femmes en Ontario

ZOOM SUR DES EXPÉRIENCES DE FEMMES

« La capacité des femmes autochtones de déterminer et d’élaborer leurs propres priorités dans les domaines de la santé, de l’éducation, des changements climatiques, de l’égalité entre les sexes et de la sécurité est essentielle au succès de la réconciliation. Elles doivent, afin de créer un changement positif et durable, présenter des idées de programmes adaptés à leurs besoins particuliers ainsi que des stratégies de mise en place. […] »


— Francyne D. Joe, présidente intérimaire, Association des femmes autochtones du Canada

FEMMES TRANS et les PERSONNES NON BINAIRES & BISPIRITUELLES

IFVS & Inclusion de Genre

 

 

L’IFVS cherche à prendre en compte les expériences et à amplifier les voix des personnes confrontées à la discrimination et à l’exclusion structurelles – des facteurs qui influencent le risque de contracter le VIH et les résultats de santé des personnes vivant avec le VIH. Par conséquent, notre travail concerne l’engagement des femmes cis et trans, des personnes bispirituelles et des personnes fems non binaires qui vivent avec le VIH, qui sont africaines, caraïbéennes et noires (ACN), Autochtones ou nouvelles arrivantes, qui utilisent des drogues ou d’autres substances, ont vécu des expériences de violence et/ou sont incarcérées ou l’ont déjà été. Parmi ces communautés, nous travaillons auprès de personnes enceintes ou parents ayant divers degrés de capacité – allant de jeunes adultes jusqu’aux personnes âgées.
Tout au long de ce document, le terme « femmes » est écrit en couleur pour souligner l’importance de prioriser les communautés de femmes confrontées à des facteurs de risque structurels disproportionnés pour le VIH, et de concentrer nos efforts sur elles; le fait que le genre n’est pas binaire; et la nécessité de voir à l’inclusion des personnes trans, bispirituelles et fems non binaires dans le travail de l’IFVS.

10x

Les femmes trans en Ontario sont 10 fois plus susceptibles de déclarer avoir été diagnostiquées d’une infection au VIH.

OHESI: Women & HIV in Ontario

ZOOM SUR DES EXPÉRIENCES DE FEMMES

« Pour améliorer les soins pour les femmes trans qui vivent avec le VIH, il est essentiel que les intervenant-es en soins de santé et services sociaux reçoivent une formation et des ressources afin de rendre leurs services plus accessibles. »


Trans PULSE Project (2017)

FEMMES QUI CONSOMMENT DES DROGUES OU SUBSTANCES

25,4%

Parmi les nouveaux diagnostics de VIH chez des femmes en 2020, 25,4 % ont été attribués à l’injection de drogues.

OHESI: Women & HIV in Ontario

ZOOM SUR DES EXPÉRIENCES DE FEMMES

« J’évite d’utiliser des services pour lesquels on demande mon nom ou ma carte-santé ou d’autres renseignements. Je ne me sens pas en sécurité dans les lieux publics ou nulle part où je dois m’identifier, parce qu’on ne sait jamais où l’info peut se rendre. Je n’utilise que des services qui ont une bonne réputation et auxquels on peut faire confiance. »


– Une femme qui consomme des drogues en Ontario

FEMMES QUI VIVENT DE LA VIOLENCE

Presque 50%

Dans une étude de cohorte en 2017, près de la moitié des femmes vivant avec le VIH ont déclaré vivre de la violence de la part de leur partenaire intime.

The OHTN Cohort Study (OCS)

ZOOM SUR DES EXPÉRIENCES DE FEMMES

«J’ai entendu parler de clientes PANDC qui n’ont pas appelé la police alors qu’elles étaient en danger, parce qu’elles avaient peur d’être criminalisées injustement.»


— Témoignage d’expérience communautaire de Brampton

LES FEMMES QUI SONT INCARCÉRÉES

10%

Près de 10 % des femmes vivant avec le VIH participant à l’Étude de cohorte de l’OHTN ont une expérience de prison. Plusieurs ont peur de dire leur statut VIH au personnel de santé en prison, ce qui rend impossible de leur donner des soins adéquats.
The OHTN Cohort Study (OCS)

 

ZOOM SUR DES EXPÉRIENCES DE FEMMES

« Comparativement à leurs homologues masculins, les femmes incarcérées dans les prisons canadiennes ont par exemple plus de chances de vivre diverses problématiques telles que la pauvreté, des grossesses, la malnutrition et des complications de santé causées par un historique de violences physiques et sexuelles. Pour les femmes autochtones et les femmes noires, ces expériences sont accentuées par l’héritage de colonisation, d’esclavagisme et de racisme. »


The OHTN Cohort Study

RESSOURCES

Rapport

La stigmatisation liée au VIH dans les communautés africaines, caraïbéennes et noires

Une ressource du CHABAC sur la stigmatisation liée au VIH dans les communautés africaines, caraïbéennes et noires.

Rapport

Les femmes incarcérées, le VIH et l’hépatite C

Un feuillet d’information du Réseau juridique canadien VIH/sida sur les droits humains des femmes vivant avec le VIH en prison.

Brochure

Guide de poche de l’IFVS sur l’inclusion trans

Une ressource de l’IFVS à l’intention des fournisseurs de services pour soutenir l’inclusion des femmes trans dans notre travail.